- Un modèle de gouvernance sous Coulibaly Dramane
En affichant un résultat net de 18,27 milliards de FCFA pour l’exercice écoulé, avec .10 milliards de FCFA de dividendes bruts à distribuer, la Lonaci s’illustre non seulement comme une entreprise publique rentable, mais aussi comme un modèle de gestion innovante et performante.
Au-delà des chiffres – qui parlent d’eux-mêmes – c’est la philosophie managériale incarnée par M. Coulibaly Dramane, Directeur général de l’institution, qui force l’admiration. En effet, les 2 500 000 FCFA de dividendes bruts par action (et 2 125 000 FCFA nets ) témoignent d’une politique d’investissement judicieuse, d’une rigueur financière assumée et d’un pilotage stratégique adapté aux exigences modernes de l’économie du jeu et du hasard..
L’un des grands atouts de sa direction réside dans sa capacité à fédérer les ressources humaines autour d’un projet collectif clair. Coulibaly Dramane a compris que les femmes et les hommes qui composent l’ossature de la Lonaci sont le premier capital de l’entreprise. En intégrant le personnel dans les prises de décision et en instaurant un climat de confiance fondé sur la reconnaissance et la responsabilité, il a non seulement renforcé la motivation des équipes, mais également leur rendement.
Cette approche participative, couplée à une vision managériale moderne, a transformé la Lonaci en une machine bien huilée, capable de répondre aux attentes de l’État, des actionnaires et des clients. Dans une Côte d’Ivoire en quête de champions économiques nationaux, la Lonaci fait figure d’exemple, prouvant que le secteur public, s’il est bien dirigé, peut générer des performances dignes des standards internationaux.
Mais cette réussite n’est pas le fruit du hasard – et c’est là tout le paradoxe pour une loterie. Elle est le résultat d’un leadership éclairé, d’une stratégie d’entreprise bien pensée et d’une **gestion centrée sur la rentabilité, la transparence et l’innovation.
En définitive, la réussite de la Lonaci n’est pas seulement un indicateur de santé financière. C’est un signal fort que la bonne gouvernance et la valorisation des talents peuvent transformer une entreprise nationale en véritable fleuron économique. À l’heure où les défis économiques de l’Afrique exigent plus d’audace et de résultats, le modèle Coulibaly Dramane mérite d’être salué, encouragé et, pourquoi pas, reproduit.